camilledockham

joined 1 month ago
[–] camilledockham@jlai.lu 3 points 9 hours ago

You'd be better off studying the psychology of social influence.

 
 
 

Juste je me souvenais de cet épisode et je trouvais ça rigolo.

[–] camilledockham@jlai.lu 1 points 2 days ago

[A] technologist named Dhruv Mehrotra designed a special network tool that prevents my devices from communicating with the tech giants’ servers, meaning […] websites hosted by Amazon Web Services, or AWS, hypothetically won’t load.

Ah oui si en plus elle fait ça, ça bloque plein de trucs. Par exemple, les serveurs de redirection vers les miroirs apt debian.org.

[–] camilledockham@jlai.lu 12 points 2 days ago (2 children)

In that case the original meme was indeed using ableism:

  1. st panel: Look at how I'm being r–word
  2. nd panel: wow fuck off r-word
  3. rd panel: haha joke's on them I was only pretending

It was used to tell off trolls and other online pranksters.

[–] camilledockham@jlai.lu 85 points 2 days ago (5 children)

I too sometimes wear anarchism panties on my face.

 
[–] camilledockham@jlai.lu 23 points 2 days ago

People have warned about this risk since disqus started getting popular. Based on my experience, no matter how nice you try to be about it, people choosing this kind of solution can give zero fucks about this, and consider that immediate convenience trumps everything. So, cheh.

[–] camilledockham@jlai.lu 3 points 3 days ago (1 children)

We'd have:

  • GPLv3
  • AGPL
  • endless daily political notes
  • no browsers, only web pages sent by email and read in emacs
  • everything in emacs in fact
  • edible toe nails
  • horny parrots
  • no congratulations for having a baby
  • too many notes about the ontology of pedophilia
  • some dubious sexual comments at women

The stallman lore is rich and diverse.

[–] camilledockham@jlai.lu 1 points 3 days ago

I just enjoy stealing.

[–] camilledockham@jlai.lu 3 points 3 days ago

C'est vrai que ça peut être une solution pour ce type précis de problème, mais en même temps elle met en exergue un problème social. Ce type de comportement se retrouve sous d'autres formes, pas toujours avec une solution technique de dispo.

[–] camilledockham@jlai.lu 3 points 3 days ago (1 children)

Je crois vraiment pas que t'aies tout lu avec attention en 6 minutes. Je vois même pas ce que tu racontes viens faire avec le propos très précis de l'auteure.

7
Vélovalidismes (infokiosques.net)
submitted 3 days ago* (last edited 3 days ago) by camilledockham@jlai.lu to c/france@jlai.lu
 

Extrait :

Toutes les promenades de plus de 5 km que j’ai faites à vélo avec une ou deux personnes m’ont fait mal au point où j’ai eu peur de mourir.

Je me souviens de ce trajet à Montréal, dans la canicule, alors que je n’ai toujours pas récupéré du jet lag, dix jours après le vol. Nous devions faire peut-être 10 km, j’étais déjà très circonspecte, parce que fatiguée et puis la canicule. Mais si je voulais sortir avec des gens et non pas rester seule, alors il fallait prendre le vélo. Un gigantesque pont sur notre trajet : je me renseigne pour savoir s’il est pentu. « c’est trois fois rien ». Alors je préviens, encore une fois, je liste les facteurs de risque, je dis que je suis lente, que je ne peux pas faire d’effort, encore moins en canicule et pas en montée. Et on se met en selle. Avant même le pont, cela va trop vite pour moi, je ne peux pas suivre. J’accélère pour rattraper mes amies au feu, et je redis que ça va trop vite. « Oui mais moi tu comprends j’ai besoin d’aller à mon rythme, je veux faire du sport, donc en fait on va t’attendre à chaque fois qu’on tourne à une intersection »... comme si le seul problème soit que je ne connaisse pas le chemin. J’étais en permanence en effort ; en bas du pont, je me rends compte de la côte, qui n’a rien d’un faux-plat. Impossible de dire quoi que ce soit, mes amies sont loin devant. Alors j’avance, je n’ai plus le choix, je ne sais pas non plus vraiment où je suis. À peine arrivées à destination, en bas du pont, je suis en souffrance. Au lieu de continuer la balade sur l’île, je les attend, une grande heure, à l’ombre, en essayant de me détendre. Au retour, je suis transpercée de douleurs, et on choisit l’itinéraire sans pente mais plus long. Je vais mettre deux jours à m’en remettre.

Il y avait aussi ces 12 km sur du plat en Irlande. Mon ami me dépasse, je ne peux plus le rattraper pour lui dire que j’ai besoin de m’arrêter. Après plusieurs minutes d’hésitations, je m’arrête parce que je n’ai pas le choix, en me demandant combien de temps il va mettre à se rendre compte que je ne suis plus derrière lui. Au bout d’un temps très long d’inquiétude et de déception, il revient vers moi, interrogateur, se demandant si j’ai crevé. C’est pas le pneu, c’est moi. Je lui fais comprendre qu’il faut rentrer, qu’il n’y a pas le choix. Je suis transpercée de douleurs sur le trajet du retour. J’ai peur que ma tête lâche, je sais que mon corps tient. Une fois arrivés à l’hôtel, il ne tarde pas à repartir voir un concert au village.

Il y avait aussi cette balade, aussi sur du plat, dans les environs de Berlin. Lorsque je demande une pause, mon ami me réponds « oh, attends un peu, dans 3km, ça sera beaucoup plus joli ». Même fin, transpercée de douleurs, toute seule, chez moi.

Il y a tant de fois. Plus exactement : à chaque fois.

Lien direct vers la version web du texte : https://infokiosques.net/spip.php?page=lire&id_article=2180

Il y a aussi des versions PDF, a5 page par page, et version livret, comme d'hab' avec infokiosques.net.

 
 

Quand on parle de guerre, les gens semblent s'imaginer quelque chose de simple et de quasi mécanique, sauf que bien sûr il y a des pertes, parce que c'est comme ça et on se pose pas plus de question. Mais en fait entre penser "il faut que les Ukrainiens mettent la pâtée aux Russes" et la réalité, il y a tout un monde. C'est ça dont parle ce chapitre de "De la guerre" de Clausewitz, le frottement.

 

En effaçant mon compte mozilla j'ai aussi décidé d'arrêter le gestionnaire de mot de passe de firefox, qui sans synchronisation n'est juste plus assez pratique. Le site de Librewolf (un fork de firefox sans la télémétrie et avec des options par défaut plus orientées vie privée) recommande KeePassXC, donc j'ai essayé puisqu'il est dans les dépôts de debian.

J'ai importé le CSV que le gestionaire de mots de passe de firefox peut exporter, et j'ai activé l'option de l'importeur de KeePassXC pour utiliser la première ligne pour nommer les colonnes. Après il faut faire correspondre manuellement les champs en commun : url, utilisateur, mot de passe, et pour le titre j'ai juste mis l'url. Je dis ça comme si c'était facile mais j'ai du m'y reprendre à deux-trois fois pour trouver cette solution.

Bref, depuis un peu plus d'une semaine j'explore KeePassXC, et je me rends compte que c'est vraiment juste un bon logiciel : pas de crash intempestif, rapide, plein d'astuces ergonomiques (notamment sur les raccourcis clavier), et si les options sont un peu fouillies, ça reste clair et on est loin de la difficulté de configuration par GUI d'un kmail, ou de devoir lire le code source pour savoir ce qu'on peut mettre dans un fichier de configuration (exemple récent pour moi, Readeck).

Il y a une extension pour navigateurs, elle aussi très bien, mais si on utilise pas les navigateurs les plus connus, il faut aller dans paramètres > Intégration aux navigateurs > Avancé, et corriger le chemin dans "Emplacement de configuration". Avec librewolf c'est ~/.librewolf/native-messaging-hosts. Elle peut mettre la fenêtre de keepass au premier plan pour déverrouiller la base de données de mots de passe, mettre à jour des identifiants, et en rajouter.

KeePassXC a aussi dans le menu "base de données" l'option "Rapport de base de données" qui ouvre une sous-fenêtre très utile pour voir les mots de passe faibles et ceux qui sont réutilisés. Il y a aussi une option pour comparer ses mots de passe à une base de donnée publique des mots de passe compromis.

Si vous utilisez des clés SSH, KeePassXC peut aussi les sauvegarder, avec le mot de passe de déchiffrement, et les envoyer à un agent SSH. Après avoir activé le mode client d'agent SSH dans les paramètres généraux, on crée une nouvelle entrée dans la base de données des mots de passe, on va sur la section "Agent SSH", et on peut lui donner le fichier de clé privée. On peut aussi d'abord dans "Avancée" mettre en pièce jointe la clé privée, et ensuite dans "Agent SSH" lui dire que c'est elle la clé privée. Le logiciel peut automatiquement les envoyer à l'agent SSH quand on déverrouille la base de données.

Enfin, sur android, il y a KeePassDX qui fait presque aussi bien, et peut lire les bases de données de KeePassXC.


Alors non, il n'y a pas de synchronisation automatique. Ou alors il faut utiliser un partage samba ou webdav ou utiliser dropbox/onedrive/etc ou utiliser syncthing, dans lesquels on mettra juste ses bases de données keepass.

Perso j'ai opté pour la copie manuelle de la base de données. D'ailleurs KeePassXC et DX offrent la possibilité de fusionner des bases de données. Je préfère ça car sinon ça veut dire avoir un service H24 exposé à internet, et si c'est pas trop grave pour un webdav avec des images de catboys, ou ma liste de podcasts dans gpodder2go, pour une base données de mots de passe, même chiffrés, j'étais pas fan.

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