oeil

joined 1 month ago
[–] oeil@jlai.lu 2 points 7 hours ago

J'ai du butiner ce qu'était un cybertruck. Je dois être une espèce rare.

[–] oeil@jlai.lu 1 points 8 hours ago

J'aime beaucoup cybersou et mémorette.

[–] oeil@jlai.lu 1 points 10 hours ago (2 children)

Trouvé sur wiki ici et :

  • infonuagique
  • araignée (robot indexeur)
  • jourel ou joueb (blog)
  • metteur en toile (webdesigner)
  • mobisite (site web avec UI pour téléphone)
  • mobinaute
  • poste à poste (pair à pair)
  • rubriquage
  • touristonaute (qui prépare ses vacances sur Internet)
  • tissage de liens (référencement)
  • écervelage / abrutissement numérique

J'arrête sinon je vais mettre tout internet...

[–] oeil@jlai.lu 3 points 12 hours ago

Quelque part je préfère penser que ce pli a fait au moins un heureux, plutôt que d'être broyé par la machine de tri...Ton anecdote me fait penser aux vieux films et romans où le postier ou la demoiselle du téléphone connaît toute la vie privée du village...

[–] oeil@jlai.lu 10 points 14 hours ago* (last edited 14 hours ago) (5 children)

Mot-clic : hashtag ! On peut aussi dire mot-croisillon !

  • Binette ou frimousse pour smiley :)
  • Ordiphone (pour smartphone)
  • Balado (pour podcast)
  • Pollupostage / polluposteur / polluposteuse / robot pourrielleur (nicole apparemment)
  • Nétiquette
  • Webtélé
  • forum de clavardage / de bavardage-clavier
[–] oeil@jlai.lu 2 points 15 hours ago (1 children)

Essaye de placer le plus de voyelles dès le premier mot, ça aide.

[–] oeil@jlai.lu 1 points 15 hours ago* (last edited 15 hours ago)

#SUTOM #1176 3/6

🟥🟦🟦🟥🟡🟦🟡🟦 🟥🟥🟦🟥🟦🟦🟥🟥 🟥🟥🟥🟥🟥🟥🟥🟥

https://sutom.nocle.fr/


J'ai trouvé #cemantix nº1122 en 48 coups ! 🥳 🥵 😎5️⃣ 🥶🥶🥶3️⃣3️⃣ 🧊8️⃣ https://cemantix.certitudes.org/

[–] oeil@jlai.lu 4 points 15 hours ago (2 children)

Je me suis jamais remise d'une enveloppe, fabriquée avec mes petites mains, contenant des timbres oblitérés représentant des trains et cheminots coréens du nord (pour la blague), timbrée avec l'orient-express, envoyée à un ami ferrosexuel de l'autre côté de la frontière française...Jamais arrivée....

[–] oeil@jlai.lu 2 points 1 day ago

Bonsoir, CypherS ;)

[–] oeil@jlai.lu 3 points 1 day ago (3 children)

Et voilà le travail.

Image

[–] oeil@jlai.lu 3 points 1 day ago (1 children)

Comme disait Bob Marley (tout en arrivant à faire danser) :

You see men sailing on their ego trip

Blast off on their spaceship

Million miles from reality

No care for you, no care for me

So much trouble in the world

[–] oeil@jlai.lu 4 points 1 day ago (1 children)
 

Vue complète de la carte. Monochrome. On dirait presque un cyanotype !

D'autres vues ici.

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Œuvres en papier végétal (lolagreenwich.com)
submitted 1 week ago* (last edited 1 week ago) by oeil@jlai.lu to c/cueillette@jlai.lu
 

Il y a quelques années, j'ai participé à un stage de fabrication de papier végétal. En retombant sur mes créations, j'ai pensé que cette technique pouvait intéresser cette communauté ! Je vous mets donc le lien du site de la créatrice avec qui j'ai réalisé cette initiation, pour vous donner une idée de ce qu'on peut faire et de la technique. Également ce joli reportage qui présente l'atelier de Viviane Fontaine.

Pas beaucoup de matériel nécessaire. Il faut pouvoir pratiquer la cueillette, avoir un peu d'espace et surtout beaucoup de patience.

Processus de fabrication du papier végétal

Il y a toujours 3 acteurs dans la fabrication d’une feuille de papier végétal : la main, la pulpe et l’eau…

Le processus de fabrication du papier végétal demande une longue et minutieuse préparation, afin d’extraire la fibre de cellulose qui compose ces végétaux :

🍁 Pour commencer, la cueillette des végétaux dans la nature, étape indispensable pour apprendre à reconnaître les plantes qui contiennent suffisamment de fibre de cellulose pour faire du papier

💦 Rinçage des plantes pour éliminer les résidus de terre, de brindilles et autres diverses plantes

🥣 Cuisson des végétaux dans une grande marmite dans un mélange d’eau et lessive de soude

♻ Recyclage de l’eau de cuisson jusqu’à 8 fois. Après cela elle est inoffensive et peut être éliminée

💧 Rinçage de la fibre de cellulose à l’eau courante afin de la nettoyer de toutes ses impuretés et de la lessive de soude

🔲 Fabrication des feuilles dans l’eau froide avec un tamis. Contrairement au papier recyclé ou chiffon, le papier végétal ne se fabrique pas en puisant la pulpe qui est dans l’eau du bac, mais en la disposant délicatement sur le tamis de la forme

✅ Pour finir, le dernier des ingrédients de cette potion, le séchage sous presse. Cette étape est indispensable pour permettre aux fibres de bien coller les unes aux autres, car aucun liant, aucune colle n’est ajoutée à la pulpe

 

publication croisée depuis : https://jlai.lu/post/16541080

Rouen ; musée Flaubert et d'histoire de la médecine. Matériaux - techniques : tissu (cousu, brodé), os, cuir, coton, bois, fer

Angélique Marguerite Le Boursier du Coudray, née en 1712, était la première sage-femme française à enseigner en public l'« art des accouchements ».

Après avoir été maîtresse sage-femme au Châtelet à Paris pendant seize ans, elle retourne en Auvergne en 1754 et commence à donner des cours gratuitement aux femmes en charge d'accouchements en milieu rural. Pour rendre ses cours « palpables », elle invente un mannequin fait de bois, carton, tissus, coton, reproduisant en grandeur nature le bassin d'une femme en couches, ce qui permet différentes manipulations ; il est approuvé en 1758 par l'Académie de chirurgie. Louis XV lui accorde en 1759 un brevet et une pension : elle va donner des cours dans tout le royaume.

Lien Wikipédia

Plus de photos et d'informations ici sur POP : la plateforme ouverte du patrimoine du ministère de la Culture

 

Rouen ; musée Flaubert et d'histoire de la médecine. Matériaux - techniques : tissu (cousu, brodé), os, cuir, coton, bois, fer

Angélique Marguerite Le Boursier du Coudray, née en 1712, était la première sage-femme française à enseigner en public l'« art des accouchements ».

Après avoir été maîtresse sage-femme au Châtelet à Paris pendant seize ans, elle retourne en Auvergne en 1754 et commence à donner des cours gratuitement aux femmes en charge d'accouchements en milieu rural. Pour rendre ses cours « palpables », elle invente un mannequin fait de bois, carton, tissus, coton, reproduisant en grandeur nature le bassin d'une femme en couches, ce qui permet différentes manipulations ; il est approuvé en 1758 par l'Académie de chirurgie. Louis XV lui accorde en 1759 un brevet et une pension : elle va donner des cours dans tout le royaume.

Lien Wikipédia

Plus de photos et d'informations ici sur POP : la plateforme ouverte du patrimoine du ministère de la Culture

 

Curiosité faisant partie de la collection de la Maison Mantin, à Moulins, en France. La collection compte également un rat empaillé jouant du violin.

 

Il y a des patrons gratuits :)

 

Nouveau numéro sur l'histoire des petites mains de la mode : "broder, tisser, coudre, tricoter, confectionner de la dentelle, fabriquer de la maille, repriser, travailler le cuir, tatouer, façonner des gants..."

La mode à pleines mains. « Seconde main », « petites mains », « main » du tissu... Le langage, têtu, nous rappelle ce que le récit enchanté de la mode efface souvent soigneusement : ce lien si intime entre la main, la couture et le vestiaire. Comme si le vêtement pouvait exister sans les gestes qui le taillent, l’assemblent, le fabriquent ; comme si une robe se portait sans mains pour la boutonner ou l’arranger ; comme si nos mains – baguées, gantées, manucurées ou abimées – étaient une part un peu négligeable du corps de mode. La féérie de la mode requiert d’en oublier le prosaïque, le laborieux, les ajustements permanents. Elle tient en de somptueuses silhouettes sans contingences, dont certaines parts seulement sont mises en gloire : jambes, seins, visages, tailles, bras parfois... Les chercheurs eux-mêmes, accompagnant le mouvement à leur façon, ont rarement regardé les mains, que ce soit en leurs gestes travailleurs ou leurs parures exhibées. Comme si, par leur évidence, elles risquaient de gâcher la poésie des apparences. L’idée d’intelligence de la main a certes nourri nombre de débats depuis Aristote, tout comme la question des liens entre main et outils ; et l’on peut observer un regain d’attention pour les artisanats, les techniques et les manières de faire. Tout cela n’efface pas un insistant mystère : ce que la mode doit et fait à nos mains. Modes pratiques : ce sixième numéro l’est donc sans doute comme jamais. En son cœur, en effet, des techniques et des gestes : broder, tisser, coudre, tricoter, confectionner de la dentelle, fabriquer de la maille, repriser, travailler le cuir, tatouer, façonner des gants... Tout l’envers du décor et le hors champ s’y dévoilent. Et, avec eux, des femmes et des hommes, artisans de métiers perdus ou négligés – brodeurs ou maroquiniers, tisserands ou ouvrières de l’aiguille – et des industries peu souvent racontées : ganteries de Millau ou premières fabriques de gants de boxe. Leur histoire y est relatée, par les mots des travailleurs ou ceux des chercheurs, qui disent les façons de faire, les apprentissages, les blessures et les joies. De mains en mains, se tisse ainsi un récit industrieux, social et symbolique. S’y révèlent les parentés techniques des gestes de la mode avec ceux de peindre ou de cueillir, et la fertilité intellectuelle de la pratique pour celles et ceux qui l’écrivent. S’y lisent les pouvoirs d’émancipation ou d’affirmation d’un savoir-faire – pour les femmes tatoueuses et tatouées de l’hôpital Broca ou pour des détenus en Angleterre. S’y raconte la force symbolique des gants et de leurs usages codifiés, jusqu’à leur contemporaine disparition. S’y lit le récit social délivré par les mains contrôlées des domestiques ou meurtries des ouvrières et ouvriers. S’y montre aussi la portée poétique et métaphorique des mains mises en scène dans la littérature et au cinéma. Car les jeux de mains et du vestiaire ont une histoire : où placer ses mains dans l’Antiquité romaine, en ces temps sans poches cousues ? Comment jouer de ses mains et de ses manches en cours d’assises ? Que signifiait retrousser sa robe au XIXe siècle ? Quel sens donner aux poses des mains dans le magazine Vogue ? Comment voler, d’une main habile, dans les poches ? Sans toutes ces mains, pas d’histoires de mode.

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Le train au cinéma (bibliotheques.paris.fr)
submitted 2 weeks ago* (last edited 2 weeks ago) by oeil@jlai.lu to c/chemindefer@jlai.lu
 

Une sélection de 108 films pour les cinéphiles ferroviphiles (ou les ferroviphiles cinéphiles, au choix).

MàJ : remplacement de "ferrovipathes" par "ferroviphiles"

 

publication croisée depuis : https://jlai.lu/post/16234338

Un article très intéressant de Modes pratiques, la revue d'histoire du vêtement et de la mode publiée par l'École supérieure des arts appliqués Duperré et par l'Institut de Recherches Historiques du Septentrion.

L'histoire du fameux tricot islandais, notamment comme monnaie d'échange coloniale et moyen de subsistance. On y explique également que tout le monde tricotait à la maison : hommes, femmes, enfants...et que les aiguilles circulaires datent de 1930 !

 

Un article très intéressant de Modes pratiques, la revue d'histoire du vêtement et de la mode publiée par l'École supérieure des arts appliqués Duperré et par l'Institut de Recherches Historiques du Septentrion.

L'histoire du fameux tricot islandais, notamment comme monnaie d'échange coloniale et moyen de subsistance. On y explique également que tout le monde tricotait à la maison : hommes, femmes, enfants...et que les aiguilles circulaires datent de 1930 !

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